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L-MAGIC SAM BLUES HARMONICA GUITARE Montreux Jazz Festival Program 1989 with BB King

Montreux Jazz

L-MAGIC SAM BLUES HARMONICA GUITARE 1st part Lucky Peterson "Nuit du Jazz"

nuit du Jazz

L-MAGIC SAM BLUES HARMONICA GUITARE Program Half Note Greece

Grèce

L-MAGIC SAM BLUES Artist HARMONICA GUITARE Festival Montereau Confluences (ex Little Magic SAM)

Capture d’écran 2023-05-21 à 13.21.05

L-MAGIC SAM SOUL BAG

L-MAGIC SAM  fut jadis un jeune prodige de l’harmonica, c’est aujourd’hui un blues rocker mûr.
Accompagné par Laurian Daire aux claviers, Vincent Martinez à la deuxième guitare, Antonella Mazza à la basse et Jimmy Montout à la batterie, Sam est viril au chant et à la guitare électrique et ne joue de l’harmonica que sur un seul des quatre titres de son Blues-rock carré et costaud.

 L-MAGIC SAM was  a young harmonica prodigy, today he is a mature blues rocker.Accompanied by Laurian Daire on keyboards, Vincent Martinez on second guitar, Antonella Mazza on bass and Jimmy Montout on drums, Sam is virile on vocals and electric guitar and only plays the harmonica on one of the four tracks of his square and strong blues-rock.

Soul Bag n°252 P.64 – Blue Planet par Christophe Mourot / Oct-Nov-Déc  2023

L-MAGIC SAM LOGO L'ECLAIREUR
L-MAGIC SAM PHOTO ARTICLE L'ECLAIREUR CAVE AU JAZZ

Le concert de rentrée, samedi soir à la cave au jazz, a été un choc : “Si c’est ça la rentrée, j’en reveux!” confirmait un amateur, alors qu’à minuit, la salle de Nanteau-sur-Lunain était encore pleine. Il est vrai que Little Magic Sam avait sorti le grand jeu avec les morceaux les plus authentiques, souvenirs de séjours à Chicago. Encore que tous les morceaux n’ont pas la qualité de “Who’s been talking ?” ou “Bad love” de Luther Allison, un thème qu’il a commencé de sa voix fumée dans le silence de la nuit nantellienne. Car il a plusieurs types de voix, une guitare qui prend son monde et un harmonica qui séduit. Il y a eu des classiques du blues et des découvertes avec cette petite bête de scène bien entourée, pendant un programme de plus de 3 heures……..Link

L’Eclaireur du Gâtinais, le 25 Août 2001

L-MAGIC SAM LOGO GUITARE MAGAZINE
L-MAGIC SAM BLUES HARMONICA GUITARE PHOTO ARTICLE CREUSOT

MAGIC

…Le soir suivant fut une véritable fête pour qui  aime le Blues rugueux, morveux et vivant : la petite bombe qu’est Little Magic Sam frappa très fort avec ses reprises réajustées à merveille («Mojo Workin’» ou «The Thrill Is Gone») parfois, quand il lâchait sa guitare pour seulement (si l’on peut dire !) s’agripper au micro, il faisait penser à Eric Burdon ayant volé la voix du Joe Cocker des Bons jours. De plus, ce gouailleur du dix-septième arrondissement (qui a quand même fait ses classes chez Luther ALLISON) reprend Lee Dorsey à merveille : ultime preuve de bon goût…

Eric Tandy, Guitarist Magazine, Septembre 1997

L-MAGIC SAM Cover SOUL BAG MAGAZINE 1997-2

…Voir Luther ALLISON est toujours un bonheur, il est là pour son plaisir et entend le partager avec les spectateurs. C’est évident… Après la pause, le côté festif et convivial s’accentuera encore avec le renfort de ses copains. On verra tour à tour Bernard, et une partie de son groupe, Joanna Connor qui venait de se produire au New Morning… Mais celui qui m’a le plus impressionné est Little Magic Sam. Un air de gavroche, la casquette de travers et le sourire narquois, il a sauté sur scène soufflant dans son harmonica. Joanna Connor n’a pas très bien compris ce qui arrivait – consternation ! – mais Luther était ravi – satisfaction ! – et lui a fait signe de le suivre dans la salle. Et ils se sont régalés à jammer au milieu du public, échangeant bientôt les rôles : Luther à l’harmo et Sam à la guitare.

Jacques Perrin, Soul Bag Mars 1997

L-MAGIC SAM PHOTO ARTICLE SOUL BAG MAGAZINE
L-MAGIC SAM PHOTO MAGAZINE Original Chicago Blues 1990

On a souvent tendance à considérer ce qui se trouve devant notre porte comme faisant partie du décor et sans réelle importance ; c’est un peu ce qui se passe avec le Blues et les artistes de Chicago. Celui qui est le Bluesman le plus populaire en Europe, Luther ALLISON, à la réputation tout à fait méritée, de par ses prestations scéniques dévastatrices, a passé son adolescence dans la Windy City et y a vécu son initiation musicale ; le personnage est charismatique, et le musicien exaltant. La chaleur humaine qui s’exhale de sa musique est typique d’un mélange détonnant de Soul, de Blues, et d’un chant empreint de la ferveur du Gospel. La présence scénique de Luther est légendaire : sur scène il est brillant, sensuel, plein d’humour, et provocateur.Pourquoi donc ces mouvements de va et vient constants entre Chicago et l’Europe de Luther ALLISON, suivi d’une installation quasi-permanente à Paris ? Le nombre d’artistes de Jazz et de Blues qui ont dû chercher la reconnaissance outre atlantique, avec un public à la passion désintéressée, remplirait une longue liste. Luther est sentimentalement attaché à la France qui lui a donné sa chance et le fête avec entrain car il est le premier grand guitariste de Blues, après quelques pianistes, comme Memphis Slim, à s’être expatrié dans notre contrée.   Luther a depuis longtemps un groupe mixte, afro-américain et … français ! Il a même adopté un jeune harmoniciste prodigé, Little Magic Sam, qui a fait les beaux jours des clubs de Chicago, la Mecque du Blues, il y a quelque temps. La présence sur le terrain de ce magistral guitariste a suscité bien des vocations chez de jeunes formations de france. Luther a vu les clubs des quartiers noirs de Chicago fermer les une après les autres, et le Blues perdre sa popularité ; il le voit maintenant regagner du terrain et être honoré dans ce gigantesque festival. Il était temps !

Original Chicago Blues Annual by Jacques Lacava June 1990

L-MAGIC SAM LOGO WISCONSIN STATE JOURNAL
L-MAGIC SAM PHOTO charly_musselwhite ARTICLE WISCONSIN STATE JOURNAL

Luther Allison Charlie Musselwhite  The Barrymore Theatre Madison, WI

Luther ALLISON’S power blues set caught fire instantly as his son, Bernard, displayed his blues bloodline. His high speed guitar work was more than reminiscent of his father and once Luther took the stage, the two exchanged a warm musical greeting as father tried to outplay son and vice versa. At some point in the show Bernard donnde a green electric guitar shaped like the continental U.S., a fitting symbol for our only true American musical form. Luther terms his music, «The New Blues». No doubt about it, his style is more upbeat than any blues artist I’ve ever seen. His «don’t hold anything back» style conjures up thoughts of Jeff Beck, Eric Clapton and Jimi Hendrix. He takes traditional blues, turns it inside out, and then increases the pace to a frenzied level. His lyrics aren’t about old men bemoaning the fact that their women have left them, instead his men have too many ladies chasing them. «You can’t exactly call it misery», laughs Luther.  Luther seemed to take flight during the tune, «Life Is A Bitch». As he explains «Bitch» in that song means «Joy», the music and lyrics reflected his personal zest for living and his philosphy that life is to be enjoyed to it’s fullest. He played that way all night long. The Arkansas-born musician moved to Chicago with his family and that’s where he developed his blues style working with Magic Sam, Elmore James, Sunnyland Slim, Shakey Jake and Big Mama Thornton. A one time Madison resident, he appeared right at home on the Barrymore stage as he strode down the center aisle all the way into the lobby and back again, never once missing a beat as he continued to cook on his guitar the entire time. As a special treat, a couple of Luther’s friends joined him and his band during the last set. Little Magic Sam, a harmonica player from Paris, France (Luther’s homebase) and local saxaphonist Fat Richard Drake, who performed with Luther during his stint in Madison, added a nice touch to an evening of really rockin’blues.

Jeff Elsoffer Wisconsin States Journal Thursday, June 14, 1990

L-MAGIC SAM-LOGO CHICAGO TRIBUNE
L-MAGIC SAM-PHOTO Big_Time Sarah CHICAGO TRIBUNE
Samuel Parpet performs at B.L.U.E.S" I think he definitely has a Chicago style of playing" says Sarah Streeter (left).

Link-The Big Time Sarah Blues Show was swinging full force to the flow of «Sweet Home Chicago» inside Wise Fools Pub on Lincoln Avenue. It was late on a July weekend night and the band was already well into its second set. «And now,» said Sarah, breaking form her vocals, «I want y’all to give a big hand here for Sam.» Sarah clapped her hands and a slight, blond 14-year-old boy, not more than 5 feet tall and 90 pounds, emerged from the audience and joined the band on stage. He was carrying a harmonica and a microphone. Within a minute he was into the song, accompanying the band’s quickning beat, his blues harmonica deep and soulful. The audience listened curiously at first, many disbelieving. His soud was clear and full, seemingly too qtudied and rich to be the wurk of so young a musician. Members of the band smilled knowingly. By the end of the set, judging by the loud applause, the disbelieving had been converted. «Who is this kid ?» someone asked. No one seemed to know. after the set , several audience members approached the young man to shake his hand and compliment him. He appeared embarrassed, and without saying a word he retreated from the room. what no one realized was that Sam, whose full name is Samuel PARPET , doesn’t speak a word of English. But agter listening to him, they knew he has a special talent, an exceptional ability to play the blues, to evoke the adult emotions and feelings that are at the heart of his music. A few nights later, before anther performance with the Big Time Sarah Blues Show, this one a few blocks avay at B.L.U.E.S. on Halsted, PARPET took the time to explain, with his friend Isabelle Ramerie acting as interpreter, his backgrouind and how he learned to play such passionate blues. He described how as a young boy growing up in the small town of Chartres, France, located about 60 miles outside of Paris, he would spend hours listening to his parents’ extensive collection of blues albums. The albums were mostly Chicago-style recordings by such blues luminaries as Jimmy JOHNSON , Billy Boy ARNOLD , Albert KING , B.B. KING and Sugar BLUE . His parents, both devout blues enthusiasts- who make dolls and sell them at the free market in Paris- gave him a harmonica when he was 2 so he could play along with the music. They would also take him into Paris to listen to blues concerts. As he grew older, his parents noticed something unusual about him. It seemed he could really play good blues- hand-clapping, hooting, fast-shuffling blues, the kind they play in Chicago. It wasn’t long before his parents’ friends, some of them musicians, heard Sam blowing his harmonica and acting as if he knew what he was doing. And the next thing Sam knew, he was up on stage playing serious, old-time blues. The same musicians he was listening to on record albums in Chartres, and watching from the audience in the Paris concert halls, were now inviting him to get up on stage with them and jam. By the time he was 13, he had performed with his idol, French blues and rock musician Jacques HIGELIN , and the popular Luther ALLISON , a favorite of European blues fans. He also had playde with a few Chicagoans, Willie DIXON and Sugar BLUE among them, who reinforced his desire to travel to America. So this summer, with the help of Ramerie, a family friend who works at B.L.U.E.S., Sam came to Chicago. Since his arrival, he «He doesn’t want to do anything has been making the rounds of local blues clubs. He doesn’t want to do anything else,» Ramerie says. Sarah Streeter, he «BIG TIME» it the Big Time Sarah Blues Show, remenbers her first encounter with PARPET , when she was sufficiently impressed to hire him to play with her. unusual at his age. He likes the faster «I think he definitely has a Chicago style of playing, which is very pace. He likes to show that he can play anything, but be doesn’t have a big head about him. He doesn’t try to overpower the band or show off.». If you missed PARPET’S last scheduled appearance, you might want to drop in on any of the blues clubs in the city to see if he’s playing. Tuesday night, for instance, he will be at Wise Fools Pub for their open jam session from 9 P.M. to 2 A.M. He’ playing on staying in Chicago until August 29.

By David Prescott Chicago Tribune, 21 July 1986.

L-MAGIC SAM-logo ouest France
L-MAGIC SAM-photo article route 66 ouest France

Après le Minnesota et l’Iowa, Louis Baumard nous écrit de l’Illinois. A Chicago, ville qui a donné son nom à une célèbre forme de blues, il a rencontré un petit français qui souffle déjà comme un pro dans son harmonica.  CHICAGO (Illinois). – L’endroit, sur Lincoln Avenue, s’appelle «BLUES», tout simplement, comme la musique que l’on y joue. La meilleure de Chicago, affirme Garry Bogolub. La foule qui se presse dans la salle sombre et longilignecompte plus de Blancs que de Noirs. Ils appartiennent à la classe moyenne et ne dépassent pas les 35 ans. Malgré la jeunesse du public, Larry n’envisage pas l’avenir du blues avec optimisme. «Le blues meurt. Luther ALLISON a émigré à Paris parce qu’ici il ne pouvait plus vivre de sa musique. Les jeunes Noirs préfèrent le rap, le reggae, le funk où comme à Washington, le gogo. Le blues n’est pas un genre musical qui fait vendre beaucoup de disques et on ne l’entend pas beaucoup à la radio. Pourquoi les Blancs s’y intéressent-ils plus que les Noirs ? «Ça, il faut le demander aux sociologues». La salle du «BLUES» a continué de se remplir et Lonnie BROOKS est monté sur scène avec deux autres guitaristes et un batteur. Il est l’un des grands de la spécialité. Sa musique est plus que mâtinée de rock et le public vibre. Et puis, tout à coup, un gamin blond se joint à eux. Il ressemble à Oscar, le héros du «Tambour». Mais de sa mallette d’écolier il tire un harmonica. Et joue. Joie et surprise dans la salle.  Il a la maîtrise d’un professionnel, sinon le souffle. Pendant un moment, Lonnie BROOKS le laissera jouer en solo. Nouvelle surprise pour le public lorsqu’il apprend que le jeune prodige vient de «Peuriss». Un français ! Samuel PARPET, Sam de ce côté-ci de l’Atlantique, n’est pas tout à fait parisien. Il habite à Mainvilliers, près de Chartres. Grand amateur de la musique de Muddy WATERS – son musicien préféré, précise t-il – il partage une passion familiale. Ses parents connaissent Luther ALLISON. Ensemble ils ont pensé que la meilleure façon d’améliorer le jeu de Sam serait de le faire venir à Chicago. Les vacances de l’élève PARPET seront donc bien remplies entre les cours d’anglais – il reconnaît qu’il en a bien besoin – et les soirées blues, avec des intermèdes prometteurs comme cette émission qui lui est proposée par des producteurs de télévisions Noirs. S’il existe  à Chicago un dernier carré d’amateurs. Larry souligne que le Blues s’est profondément ancré en Europe. Sam PARPET est là pour le montrer. Et comme il a l’intention de continuer sur cette voie…..

Louis Baumard Ouest France 08/1986

L-MAGIC SAMlogo Wise Fools

CELEBRITY SCOOPS !!!!

FRENCH HARP PLAYER…. Little Magic Sam will be appearing this Sunday August 23 for two shows at 5:00 PM and 6:30 PM. You never know who might stop in to “Jam” on a given night. Of course every Tuesday night Wise Fools features an open blues jam hosted by Glen Davis and Straightshooter, however, some of the best jams are spontaneous. Carlos SANTANA dropped in after his concert at Poplar Creek to jam with Sugar BLUE, Buddy GUY and Lee OSKAR, the harmonica player from “War”. They played until well after our usual closing time. We have also had the pleasure of welcoming Samuel PARPET to the Wise Fools stage. PARPET is a 15 year old harmonica player visiting Chicago from France. It is likely to find him at the Fools for the Tuesday night jam or on August I with Sugar BLUE. Chicago Bears player Tim Wrightman has been frequenting the pub lately. A major film production compagny also spent the day at Wise Fools working on top secret project. Whose next ???

By Deneen Kaly, Wise Fools Pub Newsletter, August 1987

L-MAGIC SAM HARMONICA MAGAZINE

Journée de l’harmonica Salle Wagram 

Un grand clin d’oeil spécial pour le petit Little Magic Sam qui a su nous faire apprécier son jeu diatonique d’enfer, et ce à 11 ans (la valeur n’attend pas)». 

Harmonicas magazine 12/1985

L-MAGIC SAM LOGO Tribune de Genève

Jazz à Malval – A peine arrivé sur la scène des Granges de Malval, Luther ALLISON emporte le public à un rythme effréné dans le monde vibrant de son blues-rock. Son style est électrique, comme celui de bien des musiciens de Chicago. Il est fortement influencé par la minière de jouer  et de chanter de BB KING, mais le jeu sobre et plein de finesse  d’un Albert KING s’est certainement aussi greffé sur ses improvisations vigoureuses. Un «Stormy Monday»  était là pour nous le rappeler ! Chicago, c’était aussi la ville de Muddy WATERS. Et c’est un hommage surprenant que Luther ALLISON fit à ce grand bluesman : «un gamin blond de 12 ans, Little Magic Sam, parisien déguisé en David Crockett, se fit un partenaire attentif et fort habile à l’harmonica. Et cela à la plus grande joie du public».

Philippe Schneider Tribune de Genève 08/1984

L-MAGIC SAM magazine Rock&Folk Juillet 1984

Bobino – «Luther ALLISON et Jacques HIGELIN se marraient bien sur la scène du Bobino quand un petit blondinet de 12 ans environs s’est mis à faire swinguer son harmonica avec une précision, une drôlerie et une assurance digne d’un fils de «South Side». Ce diable de gamin, le petit sammy leur a volé la vedette, en fermant les yeux on aurait pu croire que c’était Little WALTER…».

Rock & Folk 07/1984

L-MAGIC SAM magazine Rock&Folk Décembre 1980

Mogador – Finir l’année avec HIGELIN à Mogador c’était une idée, un dernier concert, et hop là. «Jacques HIGELIN invita à faire le boeuf un petit gamin blond de 9 ans environ, et qui devait être son fils (je suppose) a joué de l’harmonica en mesure avec la compagnie».

H.R. Rock & Folk 12/1980

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